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La signalétique : késako ?

Fréquemment rencontré, que signifie le mot signalétique ? De quoi parle-t-on exactement ? De simples panneaux qui permettent de nous guider et de nous orienter ? De PLV ? D’une stratégie de communication visuelle pour les entreprises ? Tâchons d’y voir un peu plus clair sur le sujet à l’aide d’une définition, d’un focus sur les 4 types de signalétique et enfin, sur les divers supports. La signalétique, késako ? Vous n’aurez plus à vous poser la question !

La définition de la signalétique

Roll up publicitaire

Avec la publicité extérieure et la PLV (Publicité sur le Lieu de Vente), la signalétique endosse elle aussi un rôle important dans la grande famille de la communication visuelle. La frontière est étroite, je vous l’accorde entre ces 3 notions. Disons peut-être pour simplifier les choses que la signalétique est la branche de la PLV qui favorise le repérage du client sur le point de vente. Mais la signalétique sert à bien plus que cela. De façon plus globale, elle est définie par l’ensemble des moyens déployés pour informer et guider les personnes, et pas seulement sur un lieu de vente.

C’est donc un outil de communication visuelle qui revêt une véritable importance pour les entreprises et les enseignes. Une promotion, un nouveau produit, une opération commerciale, une ouverture de commerce, un salon, une exposition… Faites-le savoir : misez sur les grands formats de la signalétique pour véhiculer votre message.

On la trouve d’ailleurs à cet effet tant en intérieur qu’en extérieur : elle est devenue au fil des années un élément clé de l’évènementiel et de la politique de communication d’une organisation. Elle est polyvalente, oui, car elle convient tant à un petit commerce qui annonce sa prochaine ouverture à l’aide d’une banderole qu’à une grande entreprise qui consomme roll up, kakemono, photocall, etc. pour tous ses évènements et rendez-vous annuels.

Attention toutefois, car la signalétique répond à quelques règles :

  • Le texte doit être court : des mots clés intelligemment disposés (pas plus de 7 sont idéals).
  • Le logo doit être facilement identifiable.
  • Le choix des images doit être judicieux : celles-ci doivent être attractives et représentatives de votre activité.
  • Le choix de la signalétique et de son support doit correspondre à l’image de l’entreprise ; pas de fausses notes !

Les 4 types de signalétique

On distingue 4 grands types de signalétique :

  • La signalétique informative et directionnelle : elle remplit des fonctions d’orientation, d’information et de sécurité. Ce sont essentiellement du fléchage, des panneaux avec plan, des indications de direction, la fonction d’une salle, etc. Couloirs d’entreprise, ascenseurs et hall d’entrée sont ses lieux de prédilection.
  • La signalétique de communication ou publicitaire : son rôle est de faciliter l’identification rapide d’une entreprise ou d’un magasin. Elle doit jouer sur la séduction, être incitative et suffisamment informative. Affiches, panneaux, totems… la signalétique se fait corporate et incarne vos codes et votre charte graphique pour affirmer votre identité.
  • La signalétique événementielle : elle communique sur l’évènement en cours ou à venir. On la voit souvent sous forme d’habillage de vitrine, de banderole, etc. « Prochainement ouverture de… » ça vous parle ?
  • La signalétique décorative : c’est un peu le haut de gamme de la signalétique, celle qui renforce ses fonctions premières d’orientation et d’information avec de l’esthétisme et du design.

Les divers supports de la signalétique

Lettrage pour vitrine

La signalétique connaît une évolution permanente tant et si bien que les professionnels du marketing et de la communication y ont de plus en plus recours. Diversité des types de supports, des matières, des dimensions : la signalétique prend du galon dans tout l’arsenal à leur disposition et permet de laisser place à plus de créativité et d’esthétisme.

On distingue la signalétique intérieure, celle qui aide les employés ou les visiteurs à se repérer de la signalétique extérieure. C’est surtout cette dernière qui retient notre attention ici, celle pour qui nous imprimons affiches, vinyles et panneaux dans nos ateliers près de Bordeaux.

Passons en revue à présent les composants principaux d’un dispositif de signalétique.

Le totem publicitaire :

On le trouve souvent à l’entrée d’une zone d’activité ; le totem vient déjà en éclaireur vous indiquer la présence d’une entreprise. Roi de la signalétique, en tout cas élément phare, il sait tout faire : informer, diriger, signaler, communiquer… Moderne et innovant, il séduit aussi par sa double utilisation en intérieur et en extérieur.

Le panneau (d’affichage, directionnel ou publicitaire) :

Le panneau, un grand classique en effet, mais il est tellement utile ! Le panneau d’affichage informe le consommateur et délivre des indications complémentaires sur l’enseigne. Le panneau directionnel oriente : il doit être clair et précis. Son but est de faire gagner du temps au visiteur tout en rendant le lieu plus accueillant. Le panneau se décline dans de nombreux modèles et divers matériaux :

  • Le panneau alvéolaire : léger et économique, il est à privilégier pour une opération ponctuelle. Les agences immobilières le plébiscitent.
  • Le panneau en AluDibond : composé de deux tôles en aluminium séparées d’un intérieur en polyéthylène noir, il est très rigide et résistant à tous les aléas atmosphériques.
  • Le panneau en PVC : souple et robuste, il est peu coûteux et multifonctions. Que des avantages !
  • Le panneau en Plexiglas : transparent et esthétique, il est parfait pour une plaque de façade ou un tableau décoratif.
  • Le panneau en carton plume : le petit nouveau des panneaux publicitaires.

La banderole/bâche :

En signalétique, le principe de la toile tendue est plus que répandu. Offrant une visibilité optimale, aisément montable et démontable, donc potentiellement réutilisable, la banderole est l’atout publicitaire avec un rapport qualité/prix remarquable. Elle est très adaptée à l’extérieur, car prévue pour résister au feu ( (norme européenne B1) et au vent (la bâche Mesh micro-perforée).

Le kakemono suspendu :

On ne voit qu’eux dans les salons ou autres évènements professionnels : faciles à installer, esthétiques, avec une large façade pour communiquer, les marques et les annonceurs plébiscitent les roll up.

Suspendu à la verticale ou posé sur pied, il existe dans de nombreux matériaux et dimensions. Pour votre visibilité, le kakemono suspendu est sans aucun doute l’outil de signalétique à faire imprimer.

Les affiches :

S’il existe bien un support de communication imprimé très efficace, c’est l’affiche. En ville, c’est l’outil print le plus visible, celui qui vous donne une présence maximale. Pensez à son emplacement sur du mobilier urbain, type abribus et visez au plus large ! Disponible dans de multiples formats, personnalisable, elle est en plus une signalétique peu coûteuse.

Les adhésifs :

La famille des adhésifs est importante. Il existe le lettrage (des stickers lettres) en vinyle très coloré et très esthétique pour la décoration notamment. La vitrophanie, comme son nom l’indique, est dévouée à l’information sur la vitrine et à son ornement. Elle permet une double lecture. Le film adhésif dépoli joue sur les nuances et vient flouter sans obscurcir vos surfaces vitrées ; le rendu est sobre et qualitatif. On peut aussi citer le marquage au sol, le sticker décoratif…

La signalétique, vous l’avez compris, peut revêtir diverses formes et en tout cas servir à plusieurs usages. On s’est habitué à la voir et son utilité n’est plus à démontrer. Elle séduit de plus en plus les entreprises, pour sa polyvalence, son prix attractif, sa capacité à délivrer une information avec agilité et esthétisme. Êtes-vous prêt à faire imprimer une banderole ou un panneau, à vous lancer dans une communication grand format ?

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